Londres, suite (mardi, 10 juin 2008)

Ce matin, en écrivant ma note, j'étais préoccupée par la mise en place des photos.

Pour ceux qui s'inquiétaient de mes préoccupations culinaires

mais si, il y en a

rassurez-vous

pas le temps d'ingurgiter autre chose que des sandwichs

sauf le soir à l'hôtel où j'ai bu un Gewurthtraminer à la santé de mes Alsaciens préférés.

Plus sérieusement je dois dire que j'ai eu peu de contacts avec les Anglais, mais d'après le fils, "Londres ce n'est pas l'Angleterre".

D'ailleurs il a eu le temps de nous faire part de ses impressions après six mois d'activité professionnelle.

Dans le positif, l'ambiance professionnelle. Plus décontactée qu'en France, sans poids de la hiérarchie. Il travaille dans une agence qui place des consultants informatiques pour le logiciel SAP. Ambiance jeune, tous moins de 40 ans. Très internationale puisque chacun travaille sur le marché de son pays d'origine. Des salles de billard et de jeux à leur disposition. Le vendredi soir on reste sur place pour partager un buffet.

Il trouve  les Anglais ouverts et tolérants, ne pratiquant aucune discrimination sociale, ethnique ou religieuse. Très sympathiques et drôles également : l'humour n'est pas un cliché.

Dans le négatif : l'individualisme. Aucun sens du service. On l'a expérimenté : 3/4 d'heure pour servir un malheureux hamburger. Pour les transports en commun pas une semaine sans incidents ! Là aussi nous avons expérimenté : importante station de métro fermée alors qu nous devions rentrer à l'hôtel. Et comme les Anglais subissent sans râler rien ne s'améliore...

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