jeudi, 28 juin 2007
Le rocher est son but...
Il faut quand même que je vous donne la fin du passage d'Insa Sané.
Pas si évident.
" (...)La vague monte, descend. Puis, dans un ultime fracas, la vague s'éteint sur le rocher. Au même moment, une petite vague vient de naître au fond de l'océan, par d'obscures et impénétrables voies.
L'homme est une vague, le rocher est son but, la vie est un long ballet cynique."
Bon il me semble que l'on peut aussi s'éteindre doucement sur une plage de sable fin.
09:15 Publié dans Coups de coeur | Lien permanent | Commentaires (12) | Facebook | Imprimer
Commentaires
Bonjour Rosa,
Je te remercie pour tes coms laissés sur mon blog.Je vais répondre à ta question pour les photos mais je le ferais par mail car ce serait trop long, je ne peux le faire de suite ma boite mail refuse de s'ouvrir. C'est promis je le fais dès que possible.Bises à toi .
laurence
Écrit par : laurence | jeudi, 28 juin 2007
Je t'ai envoyé un mail avec les explications demandées.
Bonne soirée
laurence
Écrit par : laurence | jeudi, 28 juin 2007
"La vie est un long ballet cynique" , je suis d'accord avec ça ce soir ...
Bises
Écrit par : Cathy | jeudi, 28 juin 2007
Ouf, enfin je peux accéder aux commentaires, cela faisait 2 jours que c'était impossible. Bon, rien de transcendant à dire, juste que j'aime beaucoup ces deux passages. Je vais essayer de le trouver à ma fille cette après-midi, ça lui fera une jolie lecture dans l'avion!
Écrit par : L.Myster | jeudi, 28 juin 2007
A Myster mais à tous : c'est un livre qui demande un âge minimum de 13 ou 14 ans.
Écrit par : Rosa | jeudi, 28 juin 2007
Insa fait encore des vagues. Merci Rosa et à bientot pour de nouvelles aventures ! je suis bientôt en vacances on pourra se faire un ou deux rdv tout le monde dehors peut-etre, il y a plein de petits trucs super bien dans cette animation
Écrit par : ashab | vendredi, 29 juin 2007
Moi, je me fracasse toujours sur des rochers...
Écrit par : enriqueta | vendredi, 29 juin 2007
Oui, Rosa, on peut finir sur une plage de sable fin et s'étaler sans heurt avant de repartir dans l'immensité de l'océan.
Une vague ne meurt jamais vraiment.
Elle se transforme au gré du vent, au gré des marées ; elle est caressante, amoureuse sur le sable, glissante et joyeuse sur les galets, passionnée et déchirée sur les rochers, mais jamais ne meurt vraiment.
Pour moi elle est espoir
Écrit par : anne | dimanche, 01 juillet 2007
C'est très beau Anne !
Moi aussi je ne pense pas que la vie soit cynique et que l'on doive nécessairement se fracasser sur un rocher...
j'espère Enriqueta que tu arriveras à cette conclusion...
Écrit par : Rosa | dimanche, 01 juillet 2007
Pour ma part, je préfère que ma vague s'évapore dans le sable doux d'une crique cachée de l'Ile de Beauté, surmontée d'une tour gênoise rougeoyante au coucher du soleil. Quant à repartir dans ce monde, qu'il soit cynique ou non ....
Écrit par : Yves | lundi, 02 juillet 2007
quitter ce monde n'est sans doute pas facile mais y revenir...encore moins
c'est ce que tu as voulu dire Yves ?
Écrit par : Rosa | lundi, 02 juillet 2007
Absolument !!!!
Écrit par : Yves | lundi, 02 juillet 2007
Les commentaires sont fermés.