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mardi, 13 août 2013

Départ pour un pays civilisé...

Cette fois je pars ! 

Pour un pays "civilisé", très même ! L'Angleterre. Nous allons au baptême de notre seconde petite-fille près de Stradford -ville de Shakespeare- car notre belle-fille est anglaise.

Voilà un voyage qui me convient mieux ! 

 

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dimanche, 11 août 2013

Le voyage que je n'ai pas fait...

Cette année, en juin,  Roso est parti seul en voyage, seul avec un petit groupe d'amis... Destination l'Islande. Je ne l'ai pas accompagné dans ce pays qui l'attirait depuis longtemps. Quant à moi, un pays dont le seul intérêt est la beauté des paysages ne me motive pas... Il faut dire aussi  que les conditions de voyage à la Paul-Émile Victor ne me tentaient guère... Une semaine de randonnée avec des gués à passer pieds-nus dans une eau à 0°, ce n'est pas trop pour moi, de même que les deux semaines à quatre dans un camping-car. Je préfère dormir sous les tentes mauritaniennes. Je l'ai donc attendu à Lyon... Les photos m'ont suffit... Et le compte-rendu d'une copine du groupe m'a confortée dans l'idée que j'avais eu raison.

Donc, des photos de Roso ! 

 

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samedi, 03 août 2013

Vacuité du monde

Entendu ce jour alors que nous sommes écrasés par la chaleur estivale. Un texte connu mais qui perturbe, dérange, étonne, interroge... Un texte qui colle mal avec le monde dans lequel on vit...

Vanité des vanités, dit l'Ecclésiaste, vanité des vanités, tout est vanité.

Quel avantage revient-il à l'homme de toute la peine qu'il se donne sous le soleil?

Une génération s'en va, une autre vient, et la terre subsiste toujours.

Le soleil se lève, le soleil se couche; il soupire après le lieu d'où il se lève de nouveau.

Le vent se dirige vers le midi, tourne vers le nord; puis il tourne encore, et reprend les mêmes circuits.

Tous les fleuves vont à la mer, et la mer n'est point remplie; ils continuent à aller vers le lieu où ils se dirigent.

Toutes choses sont en travail au delà de ce qu'on peut dire; l'oeil ne se rassasie pas de voir, et l'oreille ne se lasse pas d'entendre.

Ce qui a été, c'est ce qui sera, et ce qui s'est fait, c'est ce qui se fera, il n'y a rien de nouveau sous le soleil.

S'il est une chose dont on dise: Vois ceci, c'est nouveau! cette chose existait déjà dans les siècles qui nous ont précédés.

On ne se souvient pas de ce qui est ancien; et ce qui arrivera dans la suite ne laissera pas de souvenir chez ceux qui vivront plus tard.

Moi, l'Ecclésiaste, j'ai été roi d'Israël à Jérusalem.

J'ai appliqué mon coeur à rechercher et à sonder par la sagesse tout ce qui se fait sous les cieux: c'est là une occupation pénible, à laquelle Dieu soumet les fils de l'homme.

J'ai vu tout ce qui se fait sous le soleil; et voici, tout est vanité et poursuite du vent.

Ce qui est courbé ne peut se redresser, et ce qui manque ne peut être compté.

J'ai dit en mon coeur: Voici, j'ai grandi et surpassé en sagesse tous ceux qui ont dominé avant moi sur Jérusalem, et mon coeur a vu beaucoup de sagesse et de science.

J'ai appliqué mon coeur à connaître la sagesse, et à connaître la sottise et la folie; j'ai compris que cela aussi c'est la poursuite du vent.

Car avec beaucoup de sagesse on a beaucoup de chagrin, et celui qui augmente sa science augmente sa douleur.

L'Ecclesiaste 1, 1-18