mercredi, 25 avril 2007
Le candidat
Ce n'est peut-être pas un un grand film mais un film intelligent et bien fait. De Niels Arestrup. C'est aussi un film de circonstance. Dans une résidence, enfermé avec son équipe comme les Bleus à Clairefontaine, le candidat-Yvan Attal excellent- se prépare pour le second tour des élections présidentielles... En apparence, entraîné comme un cheval de course, dans la réalité... sacrifié aux intérêts de son parti. Très seul, il menace de "balancer" à l'occasion du fameux débat d'entre les deux tours, sur le système. Un film qui en dit long sur les état-majors et pas seulement ceux des partis politiques.
22:25 Publié dans Coups de coeur | Lien permanent | Commentaires (5) | Facebook | Imprimer
mardi, 24 avril 2007
Contemplation
Dans le train que vous avez eu sous les yeux nous avons passé douze heures. Douze heures pendant lesquelles le paysage n'a pas plus changé que celui montré par ces quelques photos. A peine quelques troupeaux de yacks pour l'animer...Il faut aimer les déserts et la contemplation. Certains ont trouvé ces heures insupportables car la contemplation peut être ennui...
La contemplation n'est pas l'ennemie de l'action au contraire elle la régénère.
Les agités ne sont pas toujours les plus efficaces.
S'en souvenir en cette période d'élections.
10:45 Publié dans Âme chinoise | Lien permanent | Commentaires (11) | Facebook | Imprimer
lundi, 23 avril 2007
Mon blog ?
Finalement ça me perturbe de voir toutes ces photos...
Ca ne me ressemble pas et je ne me reconnais plus...Il faut que je revienne au blabla... C'est plus moi.
00:34 | Lien permanent | Commentaires (11) | Facebook | Imprimer
dimanche, 22 avril 2007
Train du Tibet
Quelques photos de ce train qui est d'abord un exploit technique...Merci à Fauvette et à Stéphane pour leur aide à insérer ces photos.
Et qui passe à cette altitude affichée dans le wagon...
Je vous dis pas l'ambiance quand on a dépassé 5000 : tous rivés à l'altimètre
Et maintenant les paysages vus du train...
17:30 Publié dans Âme chinoise | Lien permanent | Commentaires (7) | Facebook | Imprimer
vendredi, 20 avril 2007
Funérailles célestes
Pour en finir avec la longévité.
Au Tibet, rien de moins que cinq modes de sépultures. Pour les notables, en fait les autorités religieuses, le corps est embaumé et placé dans un tombeau que les fidèles vont pouvoir honorer.
Pour la majorité des Tibétains le choix se porte à 90% sur les funérailles célestes.
Le corps est confié aux moines qui le découpent en morceaux, lesquels sont exposés au sommet d'une colline, la colline céleste, où ils sont dévorés par les vautours. La famille peut suivre l'opération mais à distance...Quoique, avec de bonnes jumelles, on doit arriver à voir le découpage de la mamie. Ainsi le matin peut-on repérer ces collines au sommet desquelles tournoient les vautours. Les restes (car les vautours ne mangent pas tout) sont ensuite brûlés.
Quant aux trois autres formes de sépultures : il y a, plus classiques (enfin pour nous) l'incinération et la mise en terre. Pour les pauvres qui ne peuvent pas payer les moines, on confie le corps à la rivière....
14:45 Publié dans Âme chinoise | Lien permanent | Commentaires (5) | Facebook | Imprimer
Vieille dame
Poursuivons sur le thème de la longévité mais cette fois à la française. C'est une vieille dame mais aussi une grande dame. Des amies sont allées l'écouter dans un colloque à Paris. Elle a 94 ans et marche comme une petite vieille. Installée à la tribune des intervenants, elle rayonne retrouvant la pleine possession de ses moyens intellectuels. Son message ?
Se méfier des modes (à son âge elle ne dit pas "tendances" ) mais savoir s'adapter.
Tout un programme qui me convient mieux que la philosophie de longévité à la chinoise même si son auteure n'est pas trop dans mes inspiratrices habituelles.
C'est Jacqueline de Romilly.
10:47 Publié dans D'une génération à l'autre | Lien permanent | Commentaires (4) | Facebook | Imprimer
mercredi, 18 avril 2007
Mercredi
Jour des enfants et jour des mamies. C'était mon tour de garde du mercredi. Incontournable pour Mimi (ma petite-fille de trois ans) le parc avec les jeux. Il faisait beau, on a même séché la sieste. Dans ce jardin d'un quartier tranquille, j'ai retrouvé la jungle enfantine avec ses affreux loulous à casquettes (cinq ans maximum) qui terrorisent les petites filles, certaines assez timorées je reconnais. J'ai retrouvé mon instinct de prof et ai dû faire la discipline aux pieds des toboggans pendant que leurs mères papotaient.
En pensant à vous chers jeunes collègues qui allez les voir débarquer dans vos classes dans quelques années.
19:45 Publié dans D'une génération à l'autre | Lien permanent | Commentaires (5) | Facebook | Imprimer