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mardi, 17 mars 2009

Trois jours pour Alsa

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Il y a des jours comme ça, où les préoccupations humaines doivent l'emporter sur toute autre.
Alsacop, un habitué de ce blogue, est entré hier à l'hôpital.
C'est grave.
Alsa est malade depuis très longtemps et invalide, il vit en fauteuil roulant.
Il est discret et pudique, évoquant peu son état.
Quand il le fait c'est impressionnant.
À l'heure où le printemps se pointe enfin, Alsa est à l'hôpital pour des examens d'abord et, si c'est possible, pour une très lourde opération qui se déroulerait le 19 mars.
Opération compliquée et à risques.
Donc voilà pour ma part je n'ai pas trop à coeur de publier jusqu'à cette date.
Comme le dit le TAG
"Vive la vie".

mercredi, 11 mars 2009

Et si l'avenir de la pensée politique se trouvait en Amérique latine ?

L'AMÉRIQUE LATINE VERS LE SOCIALISME

DU XXIè SIÈCLE.

RENCONTRE/DÉBAT

animé par Franck GAUDICHAUD

coordinateur du livre "Le volcan latino-américain"

Librairie "A plus d'un titre"

4 quai de la Pêcherie

à Lyon.

Samedi 14 mars à 15 heures 30

Revenant de Cuba je suis très intéressée par ce sujet. On peut critiquer pour différentes raisons le castrisme, mais on est obligé d'admirer la résistance que ce petit pays a toujours opposé aux appétits américains. A l'heure où nous nous apprêtons à nous engouffrer corps et âmes dans l'OTAN, absurdité, même pour certains gaullistes qui ont encore de la mémoire, l'espoir viendrait-il du continent latino-américain ?

"Pour tous les citoyens qui pensent qu'un autre monde est possible, au-delà de l'horizon du néolibéralisme, la dynamique des résistances collectives de la dernière décennie en Amérique latine est pleine d'enseignements" précisent les organisateurs.

lundi, 02 février 2009

Février, c'est pas mieux

N'en déplaise à Solko moi je trouve au mois de février un immense intérêt : celui de mettre fin à janvier. Je déteste janvier qui commence dans l'euphorie des bises conventionelles et nous inflige ses 31 jours interminables après les 31 de décembre. Bon pour les patrons moins pour nos porte-monnaie. Le mois le plus froid, le plus gris de l'année où les jours ne se sont pas encore donné la peine de rallonger. Le mois des soldes, dont on ne peut même pas profiter parce qu'on est fauché après Noël et qu'on a pris des kilos. Le mois qui commence l'année et en annonce une de plus au compteur. Le mois où il faut se gratter les neurones pour remplir un chèque sans se tromper. Donc en temps normal j'aime février et son doux chuintement de syllabes labiales qui appellent le baiser. Mais cette année, la barbe. Janvier joue les prolongations. Même si j'ai vu dans mon jardin pointer des feuilles de jonquilles, c'est janvier qui ne veut pas laisser sa place. Le sale traître.

Alors je vous propose un bon petit passage vers un fantasme ancien. Car vous, vous en aviez marre de ma littérature scolaire. Avouez...à part Dominique et Choubine...

Donc j'annonce monsieur...de battre mon coeur s'est arrëté...

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mercredi, 28 janvier 2009

Les cailloux et l'essentiel

Récemment j'ai eu l'occasion d'entendre une sorte de parabole qui m'a beaucoup éclairée. Je vous la résume, mais vous pouvez la lire intégralement avec le lien.

Il s'agit d'un vieux professeur qui tente d'enseigner à ses élèves comment utiliser le mieux possible son temps.

Il prend un pot et le remplit de gros cailloux. Le pot paraît plein, pourtant il ajoute des graviers et peut encore le compléter avec du sable.

Il fait alors constater à ses élèves : si vous aviez commencé par le sable, vous auriez rempli votre pot sans pouvoir ajouter rien d'autre. Les gros cailloux représentent ce qui est essentiel dans une vie. Si on introduit d'abord les broutilles sans intérêt (graviers et sable) on ne laisse pas de place à l'essentiel.

Je suis arrivée à ce qu'il faut bien appeler la dernière étape de la vie, je parle bien sûr de la vie consciente, lucide, parfaitement assumée. Donc cette question du choix de l'essentiel est fondamentale. Quand on a une activité professionnelle, on a moins cette nécessité de choix : l'essentiel s'impose par lui-même. Quand le pot de la vie est vide, qu'on peut le remplir à sa guise, ce que beaucoup nous envient, on est obligé de s'interroger sur les choix qu'on fait pour occuper  son temps.

Il me semble que j'ai du ménage à faire dans la mienne.

lundi, 26 janvier 2009

Passage vers un nouveau blogue

Un passage intéressant à faire vers un nouveau blogue littéraire.

La Rose Rouge, dédié à Maurice Magre

créé par Antoine Forcès.